Critique : Black Widow (sans spoilers)
Un simple petit film d’action Marvel pour dire au revoir à Black Widow ? C’est ce que je pensais avant d’avoir été agréablement surpris.
Un simple petit film d’action Marvel pour dire au revoir à Black Widow ? C’est ce que je pensais avant d’avoir été agréablement surpris.
Reposant sur l’amusant concept du changement de corps façon Freaky Friday, Freaky me semblait être un slasher pouvant sortir du lot.
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Plus spectaculaire que d’habitude avec un climax assez génial. Malgré tout, on est davantage dans un épisode intermédiaire.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Au loin de jouer sur le côté fantastique de Luca, Pixar reste focus sur l’histoire d’une amitié d’été dans un cadre italien paradisiaque.
Une extension fort sympathique d’une durée tournant autour de 6 heures autour d’un personnage plutôt marrant. De quoi patienter.
John Krasinski confirme qu’il est un réalisateur à suivre en pondant, avec Sans un bruit 2, une suite du même acabit que le premier.
Après une excellente entrée en matière nous invitant à découvrir un tout nouvel univers, ce deuxième épisode s’attache à poser les enjeux.
En faisant un remake du film Le convoyeur (2004), Guy Ritchie nous fait un James Cameron en mode La totale ! (1991) => True Lies (1994).