Critique : Control (avec son extension La Fondation)
Avec Control, Remedy livre à nouveau un jeu où une captivante et mystérieuse narration et des gunfights addictifs forment un mélange réussi.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Avec Control, Remedy livre à nouveau un jeu où une captivante et mystérieuse narration et des gunfights addictifs forment un mélange réussi.
Timmy Failure raconte, avec beaucoup d’humour et d’idées, l’histoire d’un garçon persuadé d’être le plus grand détective.
Pour des retrouvailles avec Robert Downey Jr., on ne peut pas dire que ce soit glorieux. Le voyage du Dr Dolittle est sans inspiration.
Crisis Jung est un animé made in France totalement taré se réappropriant les codes des animés japonais époque Club Dorothée.
Au lieu de se contenter de coller au plus près des comics, on nous a pondus une série pour adolescents. Lisez les comics, ça vaut mieux.
Pour ses débuts, je n’ai pas trouvé The Witcher spécialement transcendant. La faute notamment à des défauts assez lourds malgré des qualités.
On y est. C’est le dernier. La conclusion de la saga Skywalker. Qui porte le curieux nom de L’Ascension de Skywalker. Bizarre pour une fin.
Oh, pour une fois, je vais faire une critique d’un film dont j’ai lu le bouquin avant. Ce n’est pas souvent que ça arrive.
Au final, que dire de la série télé Preacher ? Qu’il s’agit assurément d’une série comme nulle autre. Une véritable bouffée d’air frais.
Après un début poussif, la série Dark Crystal finit par prendre ses aises et déploie une intrigue captivante dans un univers riche.