Critique : Indian Palace
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
The Vow respire le cliché. Un élément péjoratif dont on peut passer outre à condition de trouver d’autres avantages.
Le film a pour but est de capter l’air d’un temps où les hésitations sont fortes, où on ne sait pas de quoi la vie est faite.
Doté d’un casting dopé aux hormones, Margin Call revient sans fioriture sur ces hommes blindés de pouvoirs, de beaucoup trop de pouvoirs.
Tarsem est un homme visuel, privilégiant systématiquement la forme au fond alors on se dit que c’est une bonne idée de reprendre un conte…
La première saison avait fait l’objet d’une curiosité surtout que c’était à la base un comic populaire. Qu’en est-il de sa suite ?
Le rêve d’une histoire d’amour universelle marquée par la démesure n’ayant d’égale que le monstre technique que représentait l’insubmersible.
[REC]³ Genesis devait être une comédie horrifique, seulement Paco Plaza foire dans les deux genres, ne reste plus qu’une œuvre dégénérée.
Nouveau Départ est un film qui réunit tout le tralala gnangnan de la comédie dramatique même dans le casting, mais…
Je m’attendais à un mélange vomito de Battle Royale et Twilight dans la lignée du cata Numéro 4, mais, au contraire c’est un excellent film.