Critique : Dash & Lily – Saison 1
Je m’attendais au pire et j’ai été agréablement surpris. Certes, il y a tous les clichés de la romcom mais il y a aussi cette magie unique.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Je m’attendais au pire et j’ai été agréablement surpris. Certes, il y a tous les clichés de la romcom mais il y a aussi cette magie unique.
Si l’emballage sixties m’a envoûté, j’ai vite déchanté car au final, c’est un faux biopic traînant beaucoup des pieds.
Malin, reposant sur un fait de société poignant, superbement réalisé et porté par deux excellents acteurs, His House est un coup de cœur.
On retrouve bien la formule de Marchal avec un univers très noir. Juste dommage que l’ensemble soit à la limite de la parodie.
J’étais venu pour l’épouvante et l’ambiance, comme Hill House. Surprise, je me tape un soap-opera où des fantômes viennent taper l’incruste.
Marvelll a ajouté Clouds dans sa liste des films qu’il ne reverra jamais car ça fait trop chialer. Aux côtés du Tombeau des Lucioles.
Netflix commence à avoir un catalogue fourni de bons films et Les Sept de Chicago en fait partie. Quoi d’étonnant de la part de Sorkin.
Ben dis donc, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu peur devant un film. Ça pose une ambiance peu rassurante et délivre un climax dingue.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.