Critique : Hawkeye – E1 « Ne jamais rencontrer ses héros »
S’il n’était pas le projet le plus attendu du MCU, force est de constater que sur ce premier épisode, Hawkeye fait déjà mouche dans mon cœur.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
S’il n’était pas le projet le plus attendu du MCU, force est de constater que sur ce premier épisode, Hawkeye fait déjà mouche dans mon cœur.
Ayant adoré la série Les Soprano, il fallait absolument que je vois Many Saints of Newark. Malheureusement, je n’en retiens pas grand-chose.
Si j’avais été déçu au premier abord, plus les jours sont passés, plus je me suis rendu compte que j’aimais beaucoup Les Éternels.
Un de mes Marvel Studios les plus attendus, Les Éternels n’est malheureusement l’épopée épique que j’espérais.
En voulant adapter Dune, le chantier était immense pour Denis Villeneuve Heureusement, à l’arrivée, il a livré le film dantesque attendu.
Lorgnant sur le sillage ouvert par John Wick, Kate, malgré ses qualités notables, souffre de défauts plutôt pénibles.
J’espérais une belle proposition super-héroïque française à la Hero Corp. À la place, j’ai eu Julie Lescaut chez les super-héros.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
John Krasinski confirme qu’il est un réalisateur à suivre en pondant, avec Sans un bruit 2, une suite du même acabit que le premier.
Nomadland est un film à part. Bien plus proche du documentaire que d’un film classique, il s’intéresse au quotidien d’une nomade