Critique : L.A. Noire
Transposer la mécanique de GTA avec un soupçon de Point & Click dans un film noir était évident mais il fallait y penser.
Transposer la mécanique de GTA avec un soupçon de Point & Click dans un film noir était évident mais il fallait y penser.
Mathew Vaughn ne voulait pas être le gars qui a réalisé le pire épisode de la saga des X-Men. Il a fini par réaliser le meilleur.
Donner les rênes à Rob Marshall a provoqué une grosse surprise. Ce dernier ne s’étant signalé que par des drames ou des comédies musicales.
Après un catastrophique Légion que je n’ai même pas osé voir tellement tout le monde s’est accordé pour dire que c’est une sombre bouse…
Si vous voulez commencer à rembourser l’achat de votre télé 3D, il n’y a pas photo, vous devez posséder Le Royaume de Ga’Hoole.
Dès le départ, L’Aigle de la neuvième légion nous propose des beaux combats, mais on commence déjà à décerner les défauts du film.
On connaît la marque de fabrique des films Marvel à savoir un héros populaire, de l’humour, de l’action, de la romance. Thor is born !
Accessible aux enfants et aux adultes, ce drame, adapté d’une nouvelle de Stephen King, est depuis devenu culte.
Culte ! Époustouflant ! Magique ! Drôle ! Tous ces superlatifs définissent parfaitement le film et je pourrais en trouver d’autres.
Un film au scénario classique et doté d’une morale digne d’une fable de La Fontaine mais doté d’une bonne séquence d’action.