Critique : Vermin – Saison 1
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Crisis Jung est un animé made in France totalement taré se réappropriant les codes des animés japonais époque Club Dorothée.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Spider-Man : New Generation est coupé en deux. La première multiplie les clins d’œil aux fans. La seconde est une simple origin story.
Ce cher One Punch Man me faisait de l’œil. Pourtant, je n’ai pas vu un anime depuis le lycée. J’ai bien fait de m’y mettre.
Le combo adaptation du jeu Castlevania + légende des comics au scénario + quatre épisodes de 25 minutes m’a convaincu de tenter la série.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Sausage Party. C’est l’histoire d’un délire à la Toy Story avec de la bouffe et surtout du gore et du cul. Un truc impensable.
Le truc qui me fait marrer avec Kubo, c’était que j’étais persuadé que c’était un film japonais. Il n’en reste pas moins qu’il est bon.
Après avoir tangué durant des années, la branche animation de Disney s’est rattrapée et commence à se faire un sérieux catalogue.