Critique : The Defenders – Saison 1
Je l’attendais comme l’apothéose des séries Marvel/Netflix, mais finalement, The Defenders se révèle être la série que j’ai le moins aimé.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Je l’attendais comme l’apothéose des séries Marvel/Netflix, mais finalement, The Defenders se révèle être la série que j’ai le moins aimé.
Le projet d’adaptation au cinéma de La Tour Sombre a débuté, il y a une décennie de ça. Après moult abandons, il sort enfin sur nos écrans.
La déception procurée par L’Affrontement étant encore vivace, c’était avec crainte que je guettais La Planète des Singes: La Suprématie.
Précédé d’une réputation de film super cool, Baby Driver débarque dans les salles françaises. Le Scott Pilgrim des conducteurs ?
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
Le combo adaptation du jeu Castlevania + légende des comics au scénario + quatre épisodes de 25 minutes m’a convaincu de tenter la série.
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Mickael Bay fait un retour plutôt raz-de-marée en VFX, et un scénario mal cousu qui n’empêche pas d’apprécier les Transformers.