Critique : Zack Snyder’s Justice League
Comme disait un grand philosophe, je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. Pourtant, j’ai tout fait pour éviter la hype.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Comme disait un grand philosophe, je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. Pourtant, j’ai tout fait pour éviter la hype.
Falcon et le Soldat de l’Hiver retourne à la formule du second Captain America. Un monde avec politique, espionnage et terrorisme.
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.
Pas un grand western, néanmoins une histoire sympathique, même si respirant le déjà-vu, menée par un joli duo Tom Hanks / Helena Zengel.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.
Je m’attendais à une petite aventure spatiale sympathique. J’ai eu plus que ça avec carrément un énorme coup de cœur.
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.