Critique : Love and Monsters
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Si le pitch m’avait excité, j’aurais dû me renseigner plus, car il s’agit d’une réalisation de Melissa McCarthy avec son mari Ben Falcone.
Sans aucun doute, le meilleur épisode jusqu’ici. Moins porté sur l’action que d’habitude, il prend le temps d’étoffer Morgenthau et Walker.
Un épisode consacré aux retrouvailles. Celle avec Zemo m’a éclaté bien comme il faut, mais le reste m’a un peu déçu.
Wonder Woman 1984 rejoint la longue liste de films de super-héroïne complètement foirés. Aux côtés d’Elektra, Catwoman et Supergirl.
Après un démarrage tranquille, Falcon et le Soldat de l’Hiver monte d’un cran. La machine est maintenant en route.
Après une première extension prometteuse avec Kate Bishop, c’est la douche froide en compagnie d’Hawkeye sur Futur Imparfait.
Comme disait un grand philosophe, je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. Pourtant, j’ai tout fait pour éviter la hype.
Falcon et le Soldat de l’Hiver retourne à la formule du second Captain America. Un monde avec politique, espionnage et terrorisme.
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !