Critique : En eaux très troubles
À mes yeux, En eaux très troubles est une suite meilleure que son prédécesseur grâce à encore plus de WTF.
À mes yeux, En eaux très troubles est une suite meilleure que son prédécesseur grâce à encore plus de WTF.
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Après Un homme en colère, Guy Ritchie refait équipe avec Tatane Man pour une sorte de Mission : Impossible où brille Hugh Grant.
En faisant un remake du film Le convoyeur (2004), Guy Ritchie nous fait un James Cameron en mode La totale ! (1991) => True Lies (1994).
En eaux troubles annonce le retour du requin méchant visant à couler l’industrie maritime. Si tu n’as pas peur de l’eau, tu n’es pas visé.
L’affrontement épique entre Jason Statham et un requin géant. Géant au point de faire passer Bruce pour un poisson rouge.
Fast & Furious 8 vire au sentimental sombre. On parle de Brian, mais on arrive à avancer en son absence et Vin en méchant, c’est touchant
Tout change dans cette bande-annonce de plus de trois minutes. C’est fou quand même, ça. Déjà plus de trois minutes.
On ne peut pas dire que Spy soit pétri d’originalité, mais il a un excellent argument en sa faveur : le duo Paul Feig/Melissa Mccarthy.
L’épisode de la saga qui cristallise le plus d’attentes. Trop même ? En balançant une telle punchline, je ne pense pas me tromper.