Critique : Safe
Avec Safe, Tatane Man est de retour. Le distributeur des plus beaux high kick du cinéma récupère le rôle du fameux protecteur d’enfants.
Avec Safe, Tatane Man est de retour. Le distributeur des plus beaux high kick du cinéma récupère le rôle du fameux protecteur d’enfants.
Quel dommage que Fight Games ne soit pas sorti au ciné. Malgré la présence de Seann William Scott, son thème le rend non éligible.
Piranha 3DD ?! Non sérieux, ils ont osé ? Deux fois plus de gore, deux fois plus de nichons ? Je suis au taquet !
Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
God Bless America repose sur un pitch génial malheureusement sabordé trop vite. Si le début est assez jubilatoire, le reste l’est moins.
Après Borat et Brüno, le duo Larry Charles et Sacha Baron Cohen rempilent pour une nouvelle comédie. Mais sans passage « documentaire ».
Le combo Murphy / Robbins / Koren laisse présager le pire. Mais la catastrophe annoncée n’est pas arrivée.
Marley, pour moi, c’était avant tout une image. Une image où on le voyait micro à la main, dreadlocks au vent, sueur perlant sur le front.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le film du russe Alexandr Sokurov s’inspire du héros allemand d’un conte du 16ème siècle dont Goethe s’est inspiré pour écrire deux pièces.