Critique épicée : Jurassic Park
Si mon histoire d’amour avec le cinéma dure depuis si longtemps, c’est parce qu’elle a commencé de la plus belle des manières.
Si mon histoire d’amour avec le cinéma dure depuis si longtemps, c’est parce qu’elle a commencé de la plus belle des manières.
J’ai envie de détester Struck pour pouvoir le troller à mort mais Chris Colfer m’a mis dans la merde en écrivant un bon film. Salaud, va !
La saison 3 est terminée. C’est reparti pour un an d’attente. Un an à gamberger. Mais bon, ce n’est pas tout, j’ai une critique à boucler.
Fan du 1er Star Trek, un des rares blockbusters récents que j’ai revu plus de 4 fois, c’est avec impatience que j’attendais les ténèbres.
Sur fond d’histoire vraie, The Bling Ring présente la maladie qui gangrène Hollywood, un lieu où la gloire s’acquiert par la bêtise
Remember Me aurait pu être un grand jeu mais malheureusement comporte trop de défauts. Pour la prochaine fois ?
The Iceman n’est pas un mauvais film. Seulement trop calibré pour le grand public en omettant la nature psychopathe de Richard Kuklinski.
Pas besoin d’un Sixième Sens pour savoir que le film est une daube, les Signes sont partout même dans Le Village le plus paumé.
Après avoir dispensé un cours pour apprendre à tuer son boss (mémorable grâce à son casting), Seth Gordon remet ça pour apprendre à arnaquer.
Après avoir amassé un milliard au box-office, la Meute est de retour pour son chant du cygne. Pour un trou noir encore plus énorme ?