Critique : Kill The Gringo
Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
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Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
Après Borat et Brüno, le duo Larry Charles et Sacha Baron Cohen rempilent pour une nouvelle comédie. Mais sans passage « documentaire ».
Marley, pour moi, c’était avant tout une image. Une image où on le voyait micro à la main, dreadlocks au vent, sueur perlant sur le front.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
Quelle performance de Laurence Fishburne en Thurgood Marshall ! Juriste ayant été le 1er homme de couleur à siéger à la Cour suprême.
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Fantasme des lecteurs de comics, Avengers représentaient la quintessence des super-héros Marvel, loin devant les X-Men et les 4 Fantastiques.
Tarsem est un homme visuel, privilégiant systématiquement la forme au fond alors on se dit que c’est une bonne idée de reprendre un conte…