Critique : Source Code
Duncan Jones prend de plus en plus de l’ampleur. Celui qu’on appelait le fils à David Bowie commence à se dégager de l’ombre du père.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Duncan Jones prend de plus en plus de l’ampleur. Celui qu’on appelait le fils à David Bowie commence à se dégager de l’ombre du père.
Sans jamais faire la morale, sans jamais tomber dans les chemins routiniers, J’ai rencontré le Diable est une histoire de vengeance rare.
Vaut mieux se retourner vers un Hero ou encore le récent Les Trois Royaumes (surtout la version longue) pour bénéficier d’un bon film épique.
Métal Hurlant est un film inracontable. Il faut l’avoir vu au moins une fois. N’est pas un vrai cinéphile, celui qui ne l’a jamais vu.
Une grosse déception. Ce qui devrait être le fil conducteur de tous les films Barker n’est qu’un DTV horrifique assez morose.
Une grosse déception pour ce film où finalement on ne voit pas grand-chose de nouveau (tout ayant déjà été abordé autre part).
Après un générique assez malin, le film commence à se chercher. Est-ce que je serais un slasher ou une comédie ? Telle est la question.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie.
Dans un style épuré et rock (avec du Placebo et Nirvana), Kaboom nous plonge dans l’univers joyeux des campus américains.
Accessible aux enfants et aux adultes, ce drame, adapté d’une nouvelle de Stephen King, est depuis devenu culte.