Critique : Marley
Marley, pour moi, c’était avant tout une image. Une image où on le voyait micro à la main, dreadlocks au vent, sueur perlant sur le front.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Marley, pour moi, c’était avant tout une image. Une image où on le voyait micro à la main, dreadlocks au vent, sueur perlant sur le front.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le film du russe Alexandr Sokurov s’inspire du héros allemand d’un conte du 16ème siècle dont Goethe s’est inspiré pour écrire deux pièces.
Avec Les Grands Frères, David Wain et Ken Marino avaient signé une bonne comédie. On pensait qu’ils allaient rééditer la prestation.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Jeff Who Lives at Home marque la confrontation entre deux stars du petit écran et en devenir au cinéma : Jason Segel et Ed Helms.
The Deep Blue Sea souffre d’un rythme lent et d’un sujet moyennement d’actualité mais offre une telle force émotionnelle.
The Raid est présenté comme pas moins le meilleur film d’action de la décennie par le service marketing. Rien que ça ?!
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.