Critique : Star Trek Into Darkness
Fan du 1er Star Trek, un des rares blockbusters récents que j’ai revu plus de 4 fois, c’est avec impatience que j’attendais les ténèbres.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Fan du 1er Star Trek, un des rares blockbusters récents que j’ai revu plus de 4 fois, c’est avec impatience que j’attendais les ténèbres.
Sur fond d’histoire vraie, The Bling Ring présente la maladie qui gangrène Hollywood, un lieu où la gloire s’acquiert par la bêtise
The Iceman n’est pas un mauvais film. Seulement trop calibré pour le grand public en omettant la nature psychopathe de Richard Kuklinski.
Pas besoin d’un Sixième Sens pour savoir que le film est une daube, les Signes sont partout même dans Le Village le plus paumé.
Après avoir dispensé un cours pour apprendre à tuer son boss (mémorable grâce à son casting), Seth Gordon remet ça pour apprendre à arnaquer.
Après avoir amassé un milliard au box-office, la Meute est de retour pour son chant du cygne. Pour un trou noir encore plus énorme ?
Home invasion tout à fait classique n’offrant rien d’original ou d’enthousiasmant mais mérite tout de même un petit visionnage.
L’Attentat explose dans nos salles précédé d’une réputation sulfureuse suite à son interdiction dans de nombreux pays.
Co-réalisateur de L’Âge de glace et d’un Robots de triste mémoire, Chris Wedge part en solo avec Epic : la bataille du royaume secret.
Si on est salaud, on pourrait résumer Only God Forgives comme une succession de beaux tableaux avec une BO mais sans narration intéressante.