Critique : Les Mitchell contre les machines
Je ne m’attendais à rien et j’ai pris une manchette sur le larynx, un coup au plexus et un swing droit sur le service trois-pièces.
Chez Le blog de Marvelll, on adore regarder des films, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Je ne m’attendais à rien et j’ai pris une manchette sur le larynx, un coup au plexus et un swing droit sur le service trois-pièces.
On prend notre arme, notre plaque et « un flic et une femme ça se marie mal ». Aujourd’hui, c’est Y a-t-il un flic pour sauver la reine ?
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
On prend son flingue, son mulet et sa camisole, Aujourd’hui, c’est l’Arme Fatale. Pas la série télé. Le film !
Inévitablement, en regardant Godzilla vs Kong à la maison, on passe à côté de la puissance d’une séance cinéma. Satanée COVID !
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Si le pitch m’avait excité, j’aurais dû me renseigner plus, car il s’agit d’une réalisation de Melissa McCarthy avec son mari Ben Falcone.
On prend ses dents, son pieu en bois et ses gousses d’ail. Aujourd’hui, c’est Dracula. Celui de Francis Ford Coppola.
On prend sa tenue de prisonnier et son phaser du futur. Aujourd’hui, on va prouver que notre confinement est plutôt sympa comparé à Fortress.
Wonder Woman 1984 rejoint la longue liste de films de super-héroïne complètement foirés. Aux côtés d’Elektra, Catwoman et Supergirl.