Critique : Project Power
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Alors là, celui-là, je ne vais pas le rater. Déjà, parce qu’il y a un casting exceptionnel, mais en plus, la bande-annonce, quelle claque.
Documentaire classique, mais efficace sur la légende Disney, Howard Ashman, le parolier mort du sida à l’âge de 40 ans. Intéressant et beau.
Malgré quelques coups d’éclat et une meilleure gestion du rythme, j’ai été déçu par cette deuxième saison à cause d’un sentiment de déjà-vu.
Un documentaire classique revenant sur la carrière de Nicolas Anelka et s’attardant particulièrement à rétablir la vérité sur Knysna.
Moins bonne que les saisons précédentes, Laney reste tout de même passionnant à suivre grâce à son coach et ses trois jeunes mémorables.
En rachetant Greyhound à Sony pour le sortir sur sa plate-forme, Apple a frappé un grand coup, car il s’agit d’un excellent film de guerre.
Voilà un nouveau film de Netflix avec Jamie Foxx et Joseph Gordon-Levitt au casting. Framboise sur le gâteau, ça parle de super-héros.
Vu son intrigue complexe, je m’attendais à une conclusion ratée, mais que nenni, Dark a réussi là où de nombreuses séries ont raté.
J’avais de l’espoir pour The Old Guard, mais devant la fin, j’ai prononcé les mots de Petit Gibus. Si j’aurais su, j’aurais pas v(en)u.