Critique : Kate
Lorgnant sur le sillage ouvert par John Wick, Kate, malgré ses qualités notables, souffre de défauts plutôt pénibles.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Lorgnant sur le sillage ouvert par John Wick, Kate, malgré ses qualités notables, souffre de défauts plutôt pénibles.
Évidemment, avec Le dernier mercenaire, il ne faut pas s’attendre à un grand film, néanmoins beaucoup de sympathie s’en dégage.
J’espérais une belle proposition super-héroïque française à la Hero Corp. À la place, j’ai eu Julie Lescaut chez les super-héros.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Quand j’ai appris que Netflix avait annulé son premier joyau de sa couronne des adaptations du Millarworld, je n’ai pas été surpris. CQFD.
J’espérais le retour de maître Snyder. Pas de bol, on retrouve sur Army of the Dead le pire de son cinéma sans ses grosses qualités.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Partant sur un pitch similaire à celui de l’excellent Buried, Oxygène s’oriente finalement (et tant mieux) vers d’autres directions.
Je ne m’attendais à rien et j’ai pris une manchette sur le larynx, un coup au plexus et un swing droit sur le service trois-pièces.
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.