Critique : BigBug
Je comprends ceux qui disent que c’est une daube, car c’est spécial. Mais, malgré tout, j’ai bien aimé car justement Jeunet y va à fond.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Je comprends ceux qui disent que c’est une daube, car c’est spécial. Mais, malgré tout, j’ai bien aimé car justement Jeunet y va à fond.
Plus un produit marketing qu’un véritable docu, Neymar : Le chaos parfait vaut le coup d’œil comme on regarde la page wiki d’un sportif.
Le génie britannique de la comédie, Ricky Gervais, livre avec After Life ce qui est probablement sa meilleure série.
C’est bon, après plusieurs mois de négociations bien chaudes comme il faut, on a enfin une nouvelle chronologie des médias française.
J’attendais beaucoup de la série live Cowboy Bebop, je voulais même la voir avant de regarder l’animé, mais elle a foiré son casting.
Alors Red Notice, c’est Black Adam, Deadpool et Wonder Woman qui sont des voleurs, des flics, des archéologues, des cinéphiles et j’en passe.
Lorgnant sur le sillage ouvert par John Wick, Kate, malgré ses qualités notables, souffre de défauts plutôt pénibles.
Évidemment, avec Le dernier mercenaire, il ne faut pas s’attendre à un grand film, néanmoins beaucoup de sympathie s’en dégage.
J’espérais une belle proposition super-héroïque française à la Hero Corp. À la place, j’ai eu Julie Lescaut chez les super-héros.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.