Critique : Vermin – Saison 1
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Crisis Jung est un animé made in France totalement taré se réappropriant les codes des animés japonais époque Club Dorothée.
Au lieu de se contenter de coller au plus près des comics, on nous a pondus une série pour adolescents. Lisez les comics, ça vaut mieux.
Pour ses débuts, je n’ai pas trouvé The Witcher spécialement transcendant. La faute notamment à des défauts assez lourds malgré des qualités.
La nouvelle série du duo de Sherlock, Dracula, fait partie de ces rares séries qui commencent bien et qui finissent mal (dédicace à GoT).
Attendez, qu’est-ce qui se passe chez Netflix ? Michael Bay accompagné par le trio de Deadpool ? Avec un budget de 150 millions de dollars ?!
Si on aime le cinéma, Die Hard, SOS Fantômes ou Maman, j’ai raté l’avion, il faut absolument regarder The Movies That Made Us.
Grâce à Dolemite Is My Name, Eddie Murphy signe un joli come-back au premier plan avec une histoire vraie et fun concernant Rudy Ray Moore.
Pas la péloche horrifique de l’année, mais un film sympa grâce à une superbe mise en scène de Vincenzo « Cube » Natali et une trame originale.
In the Shadow of the Moon est une série B comme si elle était sortie dans les années 80. Ça se digère bien sans être de la gastronomie.