Critique : A Dangerous Method
Après l’excellent A History of Violence et un autre moindre mais réussi, Les promesses de l’ombre, Cronenberg se tourne vers la psychanalyse.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Après l’excellent A History of Violence et un autre moindre mais réussi, Les promesses de l’ombre, Cronenberg se tourne vers la psychanalyse.
Peut-être un des films les plus mauvais de cette année. Une torture psychologique d’une heure quarante pour adultes pas sages.
Il n’est jamais trop tard est typiquement un feel good movie qui vaut surtout pour ses seconds rôles accompagnés de leurs sketches.
Shame est une œuvre peu commune dans l’univers cinématographique. Il dispose d’un incroyable richesse à tous les niveaux.
Une pièce de théâtre est toujours difficilement adaptable au cinéma car on fait souvent à ce genre de film le reproche de l’unité de lieu…
Alexander Payne avait réalisé l’émouvant Monsieur Schmidt qui avait donné à Jack Nicholson l’un de ses derniers grands rôles.
Jim Carrey avec des pingouins, ça ne se refuse pas. Bien sûr l’ensemble respire bon la comédie familiale plus pour les gosses que les adultes.
Enfin, après Assassin’s Creed 2 et Brotherhood, on va enfin avoir droit à des révélations dignes de ce nom. Du moins, je le croyais.
Hara-Kiri était à la base un roman mais il est surtout connu des cinéphiles du monde entier comme étant le chef d’œuvre de Masaki Kobayashi.
On conserve l’équipe gagnante de Shrek et on s’oriente vers un personnage secondaire mais pas n’importe lequel.