Critique : Resident Evil : Operation Raccoon City
Un spin-off de Resident Evil avec les méchants comme héros. Pas mal l’idée, sauf que, bien sûr, c’est inexploité niveau scénario.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Un spin-off de Resident Evil avec les méchants comme héros. Pas mal l’idée, sauf que, bien sûr, c’est inexploité niveau scénario.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
Quelle surprise ce Binary Domain, l’arrivée d’une nouvelle franchise est un évènement à l’heure actuelle où les studios sont frileux…
The Vow respire le cliché. Un élément péjoratif dont on peut passer outre à condition de trouver d’autres avantages.
Vous avez adoré Avengers (2012). Je vous propose de retrouver ses meilleures répliques (à la fois, en français et en anglais).
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Auteur d’un Crime City sympathique avec le ghost dog pas aidé par ses yeux, Baltasar Kormakur remet ça avec un bon casting.
Récemment, je regrettais de pas bénéficier d’une aventure légère et amusante dans l’Ouest mythique, c’était sans compter sur Doc West.
Si Friends doit à Seinfeld, Happy Endings s’inspire de Friends à tel point que l’intituler Friends 2.0 ne serait pas une insulte.
Après une nuit de folie dans SuperGrave où il trainait avec son meilleur ami, Jonah Hill se retrouve seul avec trois gosses.