Critique : Arnaque à la carte
Après avoir dispensé un cours pour apprendre à tuer son boss (mémorable grâce à son casting), Seth Gordon remet ça pour apprendre à arnaquer.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Après avoir dispensé un cours pour apprendre à tuer son boss (mémorable grâce à son casting), Seth Gordon remet ça pour apprendre à arnaquer.
Après avoir amassé un milliard au box-office, la Meute est de retour pour son chant du cygne. Pour un trou noir encore plus énorme ?
Jeu notable de la 3DS, Resident Evil : Revelations est porté sur consoles et PC. Euh, ça ne risque pas de piquer les yeux ? On vérifie ça.
Home invasion tout à fait classique n’offrant rien d’original ou d’enthousiasmant mais mérite tout de même un petit visionnage.
L’Attentat explose dans nos salles précédé d’une réputation sulfureuse suite à son interdiction dans de nombreux pays.
Co-réalisateur de L’Âge de glace et d’un Robots de triste mémoire, Chris Wedge part en solo avec Epic : la bataille du royaume secret.
Si on est salaud, on pourrait résumer Only God Forgives comme une succession de beaux tableaux avec une BO mais sans narration intéressante.
12 ans après Fast & Furious, nous accueillons un nouvel épisode. Difficile à croire que cette saga a été capable de tenir plus de 5 épisodes.
Il fallait un après Smallville pour remplir le trou. On avait longtemps pensé que ce serait que le mec qui nage avec les dauphins mais non.
Paul Andrew Williams s’est distingué avec des films d’horreur. Le voir signer un feel-good movie a de quoi surprendre…