Critique : Drive
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Une curiosité, ne serait-ce que pour voir le premier film de Darren Aronofsky. En somme, un bijou d’épouvante.
La série n’est pas morte, au contraire, elle est furieusement toujours aussi jouissive. N’allez pas chercher ici un renouveau de la série.
Plusieurs choses frappent en visionnant le long-métrage de Paolo Sorrentino comme la performance de Sean Penn et la beauté des plans.
Quand on regarde Triangle, difficile de ne pas penser à Cube car il use des mêmes procédés pour happer l’attention du spectateur.
Heartless s’apparente à un petit film d’horreur mais arrive à surmonter les limites de ces productions pour proposer une belle réflexion.
L’apport de la version longue de Sucker Punch est sympathique avec deux scènes. J’ai du mal à comprendre pourquoi elles ont été enlevées.
Un pitch original ? Cette idée de mélanger deux univers n’est pas nouveau. Récemment, on a eu Outlander avec vikings contre des Aliens.
Une production Luc Besson n’est jamais très bon signe en terme de qualité mais parfois des bons films sortent du lot.
Thor et Iron Man nous avaient mis une claque et comme un signe, le plus grand Vengeur s’impose avec le meilleur film Marvel jamais sorti.