Critique : Source Code
Duncan Jones prend de plus en plus de l’ampleur. Celui qu’on appelait le fils à David Bowie commence à se dégager de l’ombre du père.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Duncan Jones prend de plus en plus de l’ampleur. Celui qu’on appelait le fils à David Bowie commence à se dégager de l’ombre du père.
Sans jamais faire la morale, sans jamais tomber dans les chemins routiniers, J’ai rencontré le Diable est une histoire de vengeance rare.
Vaut mieux se retourner vers un Hero ou encore le récent Les Trois Royaumes (surtout la version longue) pour bénéficier d’un bon film épique.
Après un générique assez malin, le film commence à se chercher. Est-ce que je serais un slasher ou une comédie ? Telle est la question.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie.
Dans un style épuré et rock (avec du Placebo et Nirvana), Kaboom nous plonge dans l’univers joyeux des campus américains.
Un film au scénario classique et doté d’une morale digne d’une fable de La Fontaine mais doté d’une bonne séquence d’action.
Quand on pense Jason Statham, les films qui nous viennent à l’esprit sont Le Transporteur et The Expendables. Des films d’actions bourrins.
Le Sucker Punch de Zack Snyder est une œuvre très prometteuse mais malheureusement pénalisée par ses nombreux défauts.
Un film sans prétention mais qui fournit un tel plaisir qu’il serait dommage de le bouder. Il est ce que Ghost Rider aurait dû être.