Critique : Love and Monsters
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Si le pitch m’avait excité, j’aurais dû me renseigner plus, car il s’agit d’une réalisation de Melissa McCarthy avec son mari Ben Falcone.
Sans aucun doute, le meilleur épisode jusqu’ici. Moins porté sur l’action que d’habitude, il prend le temps d’étoffer Morgenthau et Walker.
Un épisode consacré aux retrouvailles. Celle avec Zemo m’a éclaté bien comme il faut, mais le reste m’a un peu déçu.
Après un démarrage tranquille, Falcon et le Soldat de l’Hiver monte d’un cran. La machine est maintenant en route.
Comme disait un grand philosophe, je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. Pourtant, j’ai tout fait pour éviter la hype.
Falcon et le Soldat de l’Hiver retourne à la formule du second Captain America. Un monde avec politique, espionnage et terrorisme.
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
WandaVision était une série jouant tellement avec nos attentes que la voir revenir à des rails plus classiques a de quoi décevoir légèrement.
Quel épisode ! Quel épisode ! Ouais, je sais, je me répète, mais mince, quel épisode ! Mon préféré de la saison, de loin devant les autres.