Critique : Enola Holmes
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Vu son intrigue complexe, je m’attendais à une conclusion ratée, mais que nenni, Dark a réussi là où de nombreuses séries ont raté.
En attendant de voir Kumail Nanjiani en Éternel, on se contentera d’une comédie à la Crazy Night où un couple vit la pire nuit de sa vie.
Si je n’avais pas vu qu’il s’agissait d’une série du mec de The Office et Parks and Recreation, je n’aurais sans doute jamais regardé Upload.
Vivarium nous propose de respirer à nouveau, le temps d’un film, l’atmosphère d’une série culte des années 60 : La Quatrième Dimension.
Nouvelle lecture moderne du monstre Universal, l’homme invisible échappe à la destinée de ses deux prédécesseurs, Dracula et la Momie.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.
Pour ses débuts, je n’ai pas trouvé The Witcher spécialement transcendant. La faute notamment à des défauts assez lourds malgré des qualités.
Petit coup de cœur pour Underwater. Ce n’est pas tous les jours qu’on a un film de monstres généreux et ambitieux. Pas mal pour un Disney.