Critique : The Lovebirds
En attendant de voir Kumail Nanjiani en Éternel, on se contentera d’une comédie à la Crazy Night où un couple vit la pire nuit de sa vie.
En attendant de voir Kumail Nanjiani en Éternel, on se contentera d’une comédie à la Crazy Night où un couple vit la pire nuit de sa vie.
Si je n’avais pas vu qu’il s’agissait d’une série du mec de The Office et Parks and Recreation, je n’aurais sans doute jamais regardé Upload.
Vivarium nous propose de respirer à nouveau, le temps d’un film, l’atmosphère d’une série culte des années 60 : La Quatrième Dimension.
Nouvelle lecture moderne du monstre Universal, l’homme invisible échappe à la destinée de ses deux prédécesseurs, Dracula et la Momie.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.
Pour ses débuts, je n’ai pas trouvé The Witcher spécialement transcendant. La faute notamment à des défauts assez lourds malgré des qualités.
Petit coup de cœur pour Underwater. Ce n’est pas tous les jours qu’on a un film de monstres généreux et ambitieux. Pas mal pour un Disney.
Sans hésiter, la suite de Watchmen par HBO est une des meilleures séries sorties cette année et une des meilleures séries de tous les temps.
Après sa balade dans une galaxie très lointaine, Rian Johnson décide de revenir sur Terre pour se faire une partie de Cluedo.
Pas la péloche horrifique de l’année, mais un film sympa grâce à une superbe mise en scène de Vincenzo « Cube » Natali et une trame originale.