Critique : Candyman (2021)
Ce nouveau Candyman reprend la formule d’Halloween (2018) en faisant directement suite au classique tout en enrichissant sa légende.
Ce nouveau Candyman reprend la formule d’Halloween (2018) en faisant directement suite au classique tout en enrichissant sa légende.
Malignant est une curiosité. Alors que le nouveau film de James Wan semble être un Conjuring bis, ce n’est pas du tout le cas.
Chris Rock et Samuel L. Jackson dans un Saw. L’idée est prometteuse. Malheureusement, ils se sont juste contentés de les foutre dans un Saw.
Reposant sur l’amusant concept du changement de corps façon Freaky Friday, Freaky me semblait être un slasher pouvant sortir du lot.
John Krasinski confirme qu’il est un réalisateur à suivre en pondant, avec Sans un bruit 2, une suite du même acabit que le premier.
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Une suite se contentant de reprendre la formule de son prédécesseur tout en le transportant dans un cadre dépaysant.
J’espérais le retour de maître Snyder. Pas de bol, on retrouve sur Army of the Dead le pire de son cinéma sans ses grosses qualités.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Mes premiers pas dans le monde de Returnal m’avaient enthousiasmé comme jamais. La suite m’a démotivé comme pas possible.