Critique : Returnal
Mes premiers pas dans le monde de Returnal m’avaient enthousiasmé comme jamais. La suite m’a démotivé comme pas possible.
Mes premiers pas dans le monde de Returnal m’avaient enthousiasmé comme jamais. La suite m’a démotivé comme pas possible.
Une fois surmontée, la déception de ne pas avoir une adaptation de Lovecraft, je me suis bien régalé vu la générosité de la série.
Malin, reposant sur un fait de société poignant, superbement réalisé et porté par deux excellents acteurs, His House est un coup de cœur.
Pour la suite de Dernier train pour Busan, Sang-ho Yeon prend le risque de proposer quelque chose de différent. Du New-York 1997, sauf que…
J’étais venu pour l’épouvante et l’ambiance, comme Hill House. Surprise, je me tape un soap-opera où des fantômes viennent taper l’incruste.
Ben dis donc, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu peur devant un film. Ça pose une ambiance peu rassurante et délivre un climax dingue.
Malgré un final décevant, Des vampires dans le Bronx est une bonne comédie horrifique à l’ancienne, à savoir prenant le genre au sérieux.
Même si moins efficace que le premier, The Babysitter: Killer Queen demeure une bonne comédie horrifique où je me suis bien marré.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Ses nombreux défauts empêchent The Last of Us Part II d’atteindre le statut de chef d’œuvre dans mon cœur, mais il n’en est pas loin.