Critique : It Comes at Night
It Comes at Night a débarqué dans les salles françaises précédé d’une jolie réputation. Donc j’y suis allé sans faire attention.
It Comes at Night a débarqué dans les salles françaises précédé d’une jolie réputation. Donc j’y suis allé sans faire attention.
La momie aurait dû rester dans son sarcophage. On ne se serait pas emmerdé à aller se le taper ce film qui ne raconte rien.
Les mauvaises critiques n’ont pas entamé ma motivation d’aller voir cette Momie. Faut dire que c’est aussi la naissance du Dark Universe.
Get Out est un genre de Get the fuck Out que j’ai kiffé. Un film d’horreur qui glace le sang au point de pousser à la réflexion profonde.
Alien : Covenant a réussi à entretenir une zone de flou hallucinant. Je ne savais pas si c’était une suite de Prometheus ou un nouvel Alien.
Si tu me suis, tu sais que ce n’est pas dans mes habitudes d’écrire une critique sur un épisode. Mais là, je n’ai pas le choix.
Après un remake culotté d’Evil Dead, le réalisateur Fede Alvarez revient avec son équipe pour un film basé sur un pitch simple, mais efficace.
La critique de Blair Witch réalisé par Adam Wingard sur un scénario de Simon Barrett et qu’on peut aisément résumer en « c’est de la merde ».
Et si le blockbuster de l’été n’en était pas un ? Avec un budget de 182 000 euros, difficile de rivaliser avec Hollywood.
C’est marrant. Même en suivant l’actualité assidûment, on tombe parfois sur des surprises dont on n’avait jamais entendu parler.