Critique : Chaos Walking
Malgré des noms très prometteurs sur papier, quand on voit la production de Chaos Walking, ça pue sévère et bien, ça n’a pas manqué.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Malgré des noms très prometteurs sur papier, quand on voit la production de Chaos Walking, ça pue sévère et bien, ça n’a pas manqué.
Certains criaient déjà à la daube au vu de la bande-annonce, moi, j’avais gardé espoir… Mais tout espoir est destiné à mourir un jour.
Un épisode surprenant avec de grosses implications pour la suite du MCU. Résultat des courses, Loki était vraiment une excellente série.
J’espérais une belle proposition super-héroïque française à la Hero Corp. À la place, j’ai eu Julie Lescaut chez les super-héros.
Quel épisode ! Soufflé du début jusqu’à la fin. Mon préféré d’une série Marvel Studios jusqu’ici avec Précédemment dans… de WandaVision.
C’est assez pénible quand même de se prendre plusieurs claques en un seul épisode. On est obligé de prendre un doliprane après.
Plus spectaculaire que d’habitude avec un climax assez génial. Malgré tout, on est davantage dans un épisode intermédiaire.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Au loin de jouer sur le côté fantastique de Luca, Pixar reste focus sur l’histoire d’une amitié d’été dans un cadre italien paradisiaque.
Après une excellente entrée en matière nous invitant à découvrir un tout nouvel univers, ce deuxième épisode s’attache à poser les enjeux.