Critique : Stranger Things 4
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Avec El Arbi & Fallah de retour derrière la caméra, je m’attendais à plus de punch. Malgré tout, l’épisode final fait le job.
Avec Love and Thunder, Waititi est allé encore plus loin que sur Ragnarok. Cela donne un film moins maîtrisé, mais bourré de bonnes idées.
Épisode étonnant s’attardant sur une partie inattendue dans sa première moitié. La suite prépare le déluge de l’épisode final.
Avec Thor : Love and Thunder, Taika Waititi réapplique la formule de Ragnarok. Première victime, l’effet de surprise.
Comme le Chevalier de la Lune, Kamala Khan nous invite à prendre l’avion. Cette fois-ci, on atterrit au Pakistan.
Miss Marvel continue son (excellent) bonhomme de chemin avec un épisode offrant du teasing assez génial et un rythme impeccable.
En mixant Alerte Rouge et Scott Pilgrim, le premier épisode de Miss Marvel est une petite bombe. Excellente surprise.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Après The Witch et The Lighthouse, Robert Eggers passe au niveau supérieur en multipliant le budget de son dernier film par 7.