Critique : Room
J’attendais depuis le début de l’année mon premier 10 sur 10. Il a surgi d’un endroit improbable. D’une pièce mystérieuse. De la « Room ».
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
J’attendais depuis le début de l’année mon premier 10 sur 10. Il a surgi d’un endroit improbable. D’une pièce mystérieuse. De la « Room ».
Sans sa nomination aux Oscars dans la catégorie du Meilleur Film, il est fort probable que je n’aurais jamais vu Brooklyn. Merci Oscar, donc.
Stupeur totale : Netflix va produire la suite de Tigre et Dragon. Mais, ça ne coûte pas trop cher pour pondre la suite d’un tel film ?
Quand la bande-annonce est arrivée, elle a tout tué. La promesse d’un chef d’œuvre. Mais, concrétiser une promesse est un chemin de croix.
Ce n’est pas le mauvais biopic Wikipédia avec Kutcher qui a levé le mystère sur le mythe Steve Jobs. J’osais donc espérer plus de celui-ci.
Heroes avait proposé une approche crédible des pouvoirs à la télé, mais n’avait cessé de décliner. Une renaissance était-elle nécessaire ?
Avec un sujet brûlant basé sur une histoire vraie, un gros casting et des critiques dithyrambiques, Spotlight est un must-see.
Déjà qu’un film avec Tom Hardy, ça me fait vraiment saliver. Alors en avoir deux pour le prix d’un, j’apporte direct le bavoir.
Auréolé d’un Oscar, l’acteur Eddie Redmayne ne s’est pas reposé sur ses lauriers et s’est attaqué à un défi plus grand : changer de sexe.
Sherlock n’était pas le seul britannique à revenir durant cet hiver. Il y avait aussi son collègue, John Luther.