Critique : 21 Jump Street
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Jeff Who Lives at Home marque la confrontation entre deux stars du petit écran et en devenir au cinéma : Jason Segel et Ed Helms.
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
Une impression marrante sur le disque où on peut voir une fausse pizza inspirée de la très bonne pub du film.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
C’est l’heure des adieux. Après nous régalé durant sept saisons, voici la dernière saison de ces femmes aux foyers.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…