Critique : Moonrise Kingdom
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
C’est l’heure des adieux. Après nous régalé durant sept saisons, voici la dernière saison de ces femmes aux foyers.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Récemment, je regrettais de pas bénéficier d’une aventure légère et amusante dans l’Ouest mythique, c’était sans compter sur Doc West.
Si Friends doit à Seinfeld, Happy Endings s’inspire de Friends à tel point que l’intituler Friends 2.0 ne serait pas une insulte.
Après une nuit de folie dans SuperGrave où il trainait avec son meilleur ami, Jonah Hill se retrouve seul avec trois gosses.
Le précédent film de Chabat n’a pas été mémorable. Non, ce n’était pas le deuxième épisode du petit avec le gros, pardon l’enveloppé…
[REC]³ Genesis devait être une comédie horrifique, seulement Paco Plaza foire dans les deux genres, ne reste plus qu’une œuvre dégénérée.