Critique : Mank
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Je m’attendais à m’endormir comme devant Les chroniques de Noël 2. Finalement, je me suis surpris à rire et à lâcher une petite larme.
Vu qu’il est gratuit, je m’attendais à une démo technique basique. J’ai donc été surpris en découvrant un véritable jeu de plateformes.
Je m’attendais au pire et j’ai été agréablement surpris. Certes, il y a tous les clichés de la romcom mais il y a aussi cette magie unique.
Le Disney+ Original est un récit sympathique grâce à son idée de voyage dans le temps permettant des combinaisons de personnages improbables.
Pour son retour, Borat livre une nouvelle mission hilarante à condition d’accrocher à l’humour et de ne pas être un fan de McDonald Trump.
Pour sa saison 2, The Boys continue à être d’excellente facture. Le plus rassurant est de voir que son succès ne l’a pas rendu moins acide.
Hubie Halloween est une nouvelle occasion de retrouver Adam Sandler et sa bande sur Netflix dans un contexte inédit (Halloween donc).
Malgré un final décevant, Des vampires dans le Bronx est une bonne comédie horrifique à l’ancienne, à savoir prenant le genre au sérieux.
Même si moins efficace que le premier, The Babysitter: Killer Queen demeure une bonne comédie horrifique où je me suis bien marré.