Critique : Okja
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Mickael Bay fait un retour plutôt raz-de-marée en VFX, et un scénario mal cousu qui n’empêche pas d’apprécier les Transformers.
La momie aurait dû rester dans son sarcophage. On ne se serait pas emmerdé à aller se le taper ce film qui ne raconte rien.
Les mauvaises critiques n’ont pas entamé ma motivation d’aller voir cette Momie. Faut dire que c’est aussi la naissance du Dark Universe.
Wonder Woman fait rêver en apparence. Mais malheureusement, il n’est pas assez convaincant pour conclure que c’est un bon film.
Comme d’habitude, je serais avec franc avec toi, lecteur. Je vais donc devoir nager à contre-courant avec ma critique de Wonder Woman.
Disney a dû faire appel à l’équipe d’alerte à Honolulu pour réanimer une franchise. On le sent que la réanimation a été dure.
Après Sherlock Holmes, le british Guy Ritchie s’attaque à une autre figure emblématique anglaise. Le Roi Arthur.
Maintenant que l’effet de surprise est passé, il est l’heure de confirmer. En passant à l’échelle supérieure… Réellement ? Pas vraiment.