Critique épicée : Jurassic Park
Si mon histoire d’amour avec le cinéma dure depuis si longtemps, c’est parce qu’elle a commencé de la plus belle des manières.
Si mon histoire d’amour avec le cinéma dure depuis si longtemps, c’est parce qu’elle a commencé de la plus belle des manières.
La saison 3 est terminée. C’est reparti pour un an d’attente. Un an à gamberger. Mais bon, ce n’est pas tout, j’ai une critique à boucler.
Fan du 1er Star Trek, un des rares blockbusters récents que j’ai revu plus de 4 fois, c’est avec impatience que j’attendais les ténèbres.
Remember Me aurait pu être un grand jeu mais malheureusement comporte trop de défauts. Pour la prochaine fois ?
Pas besoin d’un Sixième Sens pour savoir que le film est une daube, les Signes sont partout même dans Le Village le plus paumé.
Co-réalisateur de L’Âge de glace et d’un Robots de triste mémoire, Chris Wedge part en solo avec Epic : la bataille du royaume secret.
Après l’extraordinaire 3D de Titanic, on était curieux de voir le résultat sur Jurassic Park. Êtes-vous prêt à esquiver le T-Rex?
Attendu comme une bombe SF, Oblivion avait pas mal d’arguments, notamment une bande annonce sublime et un Tom Cruise à l’aise dans le genre.
La perfection frôlée. Malgré son perfect au niveau technique et histoire, Bioshock Infinite souffre d’une répétitivité au niveau des combats.
Parler du premier G.I. Joe m’est difficile car je ne m’en souviens pas des masses mais ça ne m’empêche pas de vouloir voir cette suite.
C’est la mode de remettre à jour des vieux contes, après Blanche-Neige, Hansel et Gretel et Oz, voici Jack et son haricot magique.
Rares sont les jeux de combats à offrir une histoire aussi réussie sans parler de sa mise en scène ultra efficace.