Critique : The Dark Knight Rises
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.
Je vous préviens tout de suite, dans Dragon Eyes, Jean-Claude Van Damme n’est pas la star. Il incarne un maître et Cung Le est son élève.
Un bon jeu d’action avec une pincée de stratégie malheureusement l’histoire réduite au strict minimum pénalise le résultat final.
A la suite de notre Polisse national, l’Italie offre aussi un long-métrage sur sa police avec un titre classe, A.C.A.B.
Pour les cinquante ans de l’Araignée (apparue dans l’Amazing Fantasy d’août 1962), Sony nous offre un reboot: The Amazing Spider-Man.
Iron Sky est une production atypique reposant sur une idée complètement farfelue : et si les nazis vivaient toujours sur la lune ?
Avec Safe, Tatane Man est de retour. Le distributeur des plus beaux high kick du cinéma récupère le rôle du fameux protecteur d’enfants.
Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le grand retour de Max Payne était attendu depuis des années. Comment oublier les deux aventures teintées de polar noir ?