Critique : Colossal
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
Le combo adaptation du jeu Castlevania + légende des comics au scénario + quatre épisodes de 25 minutes m’a convaincu de tenter la série.
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Mickael Bay fait un retour plutôt raz-de-marée en VFX, et un scénario mal cousu qui n’empêche pas d’apprécier les Transformers.
La momie aurait dû rester dans son sarcophage. On ne se serait pas emmerdé à aller se le taper ce film qui ne raconte rien.
Les mauvaises critiques n’ont pas entamé ma motivation d’aller voir cette Momie. Faut dire que c’est aussi la naissance du Dark Universe.
Wonder Woman fait rêver en apparence. Mais malheureusement, il n’est pas assez convaincant pour conclure que c’est un bon film.
Comme d’habitude, je serais avec franc avec toi, lecteur. Je vais donc devoir nager à contre-courant avec ma critique de Wonder Woman.