Critique : Stranger Things 4
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Alors, Beetlejuice, Beetlejuice, Beetlejuice… Aujourd’hui, c’est Beeklejflkjsd. Une chronique parasitée par Beetlejuice.
On prend ses dents, son pieu en bois et ses gousses d’ail. Aujourd’hui, c’est Dracula. Celui de Francis Ford Coppola.
Pour Stranger Things 3, les frères Duffer délaissent les saisons hivernales pour basculer en été. Un changement permettant la redécouverte.
Strangers Things 2 marque une évolution à la Aliens en nous livrant un nouveau monstre vraiment stylé. Mais le cœur du show est inchangé.
C’est marrant. Même en suivant l’actualité assidûment, on tombe parfois sur des surprises dont on n’avait jamais entendu parler.
Pressenti pour être le nouveau Rambo, Homefront a finalement changé d’orientation pour devenir indépendant, mais la question demeure, que vaut-il ?
Richard Kuklinski, un nom presque inconnu en France mais qui provoque des sacrés remous outre-Atlantique. Jugez un peu, le mec est soupçonné d’avoir tué plus de 200 personnes : un ratio à faire pâlir les plus grand serial-killers.
Frankenweenie est un hommage aux premiers amours de Tim Burton, ces créatures fantastiques qui ont bercé son enfance : Dracula, le loup-garou, la Momie, Frankenstein (sans oublier sa fiancée) et … Gamera !
Alors qu’on était habitué à voir Vince Vaugn et Kevin James dans des comédies calibrés pour faire rire, Le Dilemme s’en écarte.
Avec Black Swan, Aronofsky mettra tout le monde d’accord. Plus personne ne pourra nier qu’il est un des plus grands réalisateurs.