Les chroniques de Coolson : Jurassic World : Fallen Kingdom (2018)
Alors, on prend sa mauvaise foi et son crayon à fiel. Cette semaine, c’est Jurassic World : Fallen Kingdom Caca Boudin.
Alors, on prend sa mauvaise foi et son crayon à fiel. Cette semaine, c’est Jurassic World : Fallen Kingdom Caca Boudin.
Avec cette nouvelle itération des (Wo)Men in Black qui n’est pas un reboot mais un spin-off, j’espérais que la saga reparte du bon pied.
Votre appréciation de Jurassic World: Fallen Kingdom dépendra de votre tolérance à la saga. Ma patience a atteint ses limites.
Le BGG est une adaptation d’un roman de Roald Dahl. Quand j’ai appris que Steven Spielberg allait s’en charger, j’étais impatient.
Des réalisateurs parmi les plus prestigieux ont été attachés au projet avant qu’Ang Lee ne récupère la barre.
Visuellement, c’est magnifique. « Sonoriquement », c’est splendide (VO indispensable). « Bonusiquement », c’est chargé.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Comment ne pas être complètement emballé par un tel pitch qui nous demande de considérer William Shakespeare comme un vulgaire imposteur ?
On aime tous les belles histoires d’amour surtout quand elles sont bien tragiques comme il faut. Un Jour fait partie de celles-là.