Critique : Un prince à New York 2
Après l’excellent Dolemite is my name, le duo Eddie Murphy / Craig Brewer remet ça pour donner une suite au culte Un prince à New York.
Après l’excellent Dolemite is my name, le duo Eddie Murphy / Craig Brewer remet ça pour donner une suite au culte Un prince à New York.
Après une belle gamelle dans la Maison Blanche, le président des États-Unis et son pote Mike remettent ça à Londres.
Après son monstrueux carton au box-office, la mise en chantier de Ted 2 n’a surpris personne. Mais était-elle vraiment utile ?
Luc Besson revient vers ce qui avait fait son succès : les femmes fortes ! Il prend sa Nikita et la transforme en super-héroïne.
Johnny Depp dans un film de S.F., je ne peux qu’être curieux du résultat, car l’acteur est étranger à cet univers.
Les Lego représentent un univers si vaste qu’ils ont réussi à matérialiser l’imagination. Mais comment adapter ça en film ?
281. Deux cent quatre-vingts et un. Soit l’âge cumulé des quatre acteurs principaux de Last Vegas. De la légende pour faire un Very Bad Trip.
Le français Leterrier is back et il ramène avec lui un joli gang pour un spectacle de magie hors du commun. Voici les Quatre Cavaliers.
Attendu comme une bombe SF, Oblivion avait pas mal d’arguments, notamment une bande annonce sublime et un Tom Cruise à l’aise dans le genre.
Quand Piège de Cristal rencontre 24 heures chrono, ça donne La Chute de la Maison Blanche. On ne peut pas faire mieux comme description.