Critique : Banger
Sur un scénario bourré de clichés, Banger repose sur le talent de ses acteurs pour s’en sortir grâce à de jolies nuances.
Sur un scénario bourré de clichés, Banger repose sur le talent de ses acteurs pour s’en sortir grâce à de jolies nuances.
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
Un produit Netflix misant avant tout sur Millie Bobby Brown. Bref, un truc calibré où l’histoire peine à convaincre.
Une suite dans la lignée du premier opus. Donc si t’as aimé, tu vas aimer. Si t’as kiffé, tu vas kiffer. Si t’as détesté, tu vas détester.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Inévitablement, en regardant Godzilla vs Kong à la maison, on passe à côté de la puissance d’une séance cinéma. Satanée COVID !
Après une ouverture mémorable en 2014 avec Godzilla, impossible de ne pas être excité par la perspective du combat entre ces deux Kaijū.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Sherlock Holmes a une petite sœur. Elle s’appelle Enola et est jouée par la star de Stranger Things. Voilà un curieux pitch.
Pour Stranger Things 3, les frères Duffer délaissent les saisons hivernales pour basculer en été. Un changement permettant la redécouverte.