Les chroniques de Coolson : L’Arme fatale (1987)
On prend son flingue, son mulet et sa camisole, Aujourd’hui, c’est l’Arme Fatale. Pas la série télé. Le film !
On prend son flingue, son mulet et sa camisole, Aujourd’hui, c’est l’Arme Fatale. Pas la série télé. Le film !
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
Comme chaque année, à la veille des Oscars, on a droit à la cérémonie des Razzie Awards qui récompensent le pire du cinéma de l’année.
Quand Mad Mel revient à la réalisation, c’est un évènement. En plus, il livre un film de guerre donnant l’impression d’y avoir été.
À l’occasion de la sortie du The Visit de Shyamalan, Epice s’est dit : « Tiens, j’écrirais bien une critique sur ce film avec des signes. ».
À chaque nouveau Expendables, ses nouvelles légendes du cinéma. Cette fois-ci, c’est au tour d’Indiana Jones, Zorro, Blade et l’Arme Fatale.
En dépit de son excellente idée de départ, Machete se révélait finalement très vite limité. Quel est donc l’intérêt d’entamer une suite ?
Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
Film réalisé par la prostituée copine de Travis Bickle (Taxi Driver), Jodie Foster et contrairement aux apparences, il ne s’agit pas de son premier film mais de son troisième.