Critique : Men in Black: International
Avec cette nouvelle itération des (Wo)Men in Black qui n’est pas un reboot mais un spin-off, j’espérais que la saga reparte du bon pied.
Avec cette nouvelle itération des (Wo)Men in Black qui n’est pas un reboot mais un spin-off, j’espérais que la saga reparte du bon pied.
Ils me prennent par les sentiments (de fan de Marvel) là. Ces petits bâtards ont embauché Thor et Valkyrie pour qu’ils prennent la suite des agents K et J.
Un léger sentiment de gâchis s’est emparé de moi en sortant de la séance. Il n’est pas difficile de pointer du doigt le problème du nouveau Steve McQueen.
Quand le petit Martin sort un film, la loi m’oblige à me diriger vers le cinéma le plus proche et acheter un ticket. Silence ne déroge pas à la règle.
Avant Jurassic World 2, Juan Antonio Bayona s’attaque à un drame intimiste avec un monstre de plusieurs mètres de haut et avec la voix de Liam Neeson.
Avec Silence, Martin Scorsese adapte un roman de Shūsaku Endō se déroulant dans le Japon féodal. Garfield, Driver et Neeson sont au casting.
Il s’agit d’une adaptation du roman acclamé par la critique Quelques minutes après minuit et la bande-annonce laisse espérer un film alléchant.
Après son monstrueux carton au box-office, la mise en chantier de Ted 2 n’a surpris personne. Mais était-elle vraiment utile ? On juge ça tout de suite.
Il est vraiment de retour ! Si on pouvait se poser la question de l’intérêt d’une telle suite, la bande-annonce suivante devrait vous convaincre…
Paul Haggis (Collision, 2004) revient avec un mec auquel il ne faut pas prendre la fille, Liam Neeson, pour faire un puzzle destiné aux 7 à 77 ans.