Critique : Baby Driver
Précédé d’une réputation de film super cool, Baby Driver débarque dans les salles françaises. Le Scott Pilgrim des conducteurs ?
Précédé d’une réputation de film super cool, Baby Driver débarque dans les salles françaises. Le Scott Pilgrim des conducteurs ?
C’est le film qui a enflammé le week-end. Projeté à la SXSW, Baby Driver a emballé la critique et voici la première bande-annonce VOST.
Le reboot redouté était réussi. Ce deuxième opus continue sur sa lancée et devrait s’affranchir des défauts du premier donc être meilleur.
Jamie Foxx embarque pour une mortelle croisière avec Tom Cruise et tout ne se passe pas forcément comme prévu…
Débarquant après son concurrent direct, White House Down concourt à un sacré risque. D’un, accusation de plagiat. De deux, « déjà-vu ».
Quentin Tarantino a un talent fou. Avec son génie, il a toujours su monter des projets lui tenant à cœur malgré tout, j’étais souvent déçu.
Le film n’innove rien, il ne fait que suivre les chemins battus et rebattus de la comédie américaine à savoir exploiter une idée de départ sur un scénario déjà prêt.
Lancé à toute vitesse avec l’agression de la famille Shelton, Que Justice Soit Faite chope aux tripes avant de provoquer la consternation.
Zach et Robert ne font pas un porno (j’avoue, elle était facile) mais une excellente comédie qui m’a bien fait poiler.