Critique : La La Land
3 ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année. Néanmoins, je craignais la déception.
3 ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année. Néanmoins, je craignais la déception.
Après m’avoir collé sur mon siège et fait frissonner comme jamais avec son Warrior, le prochain Gavin O’Connor m’intéressait.
Après avoir tangué durant des années, la branche animation de Disney s’est rattrapée et commence à se faire un sérieux catalogue.
Malgré quelques coups ratés, Terminator: Genisys a globalement réussi sa promotion, laissant ainsi envisager un bon film.
Une claque. Une expérience cinématographique rare. J’avais bouclé mon top 10 de 2014. Et voilà que… Et voilà que Whiplash a retenti.
Contrairement à d’habitude, le jeune Jason « Juno » Reitman va s’orienter vers le drame pur, lui pourtant si bon dans la comédie.
Home invasion tout à fait classique n’offrant rien d’original ou d’enthousiasmant mais mérite tout de même un petit visionnage.