Critique : The Killer
Malgré l’excellence de la réalisation et du premier chapitre, difficile de me passionner pour les aventures du tueur ringardisées par Hitman.
Malgré l’excellence de la réalisation et du premier chapitre, difficile de me passionner pour les aventures du tueur ringardisées par Hitman.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Fincher est de retour avec Ben Affleck et Rosamund Pike pour une adaptation d’un roman où l’auteure pensait à lui quand elle l’a écrit.
Le blu-ray de Millenium est tellement soigné qu’il demeure indispensable dans la collection de chaque collectionneur et des fans du film.
Le Millenium de Fincher succombe aux problèmes inhérents aux remakes américains à savoir une version légèrement plus édulcorée.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie.
Un chef d’œuvre qui nous plonge dans les univers impitoyables d’Harvard et du net tout en évitant tout pathos (vu dans Wall Street 2).