Les chroniques de Coolson : S.O.S. Fantômes (1984)
Faites chauffer la Cadillac Ecto-1, sortez les packs à protons, cette semaine, c’est S.O.S. Fantômes. La version de 1984, évidemment.
Faites chauffer la Cadillac Ecto-1, sortez les packs à protons, cette semaine, c’est S.O.S. Fantômes. La version de 1984, évidemment.
L’avantage avec ce genre de films, c’est qu’on n’en attend pas beaucoup. Dès lors, ils se retrouvent en position de force pour être une belle surprise.
Ce film ne me disait rien jusqu’au jour où j’ai découvert le nom du réalisateur : Tate Taylor (La Couleur des sentiments). Il ne m’en fallait pas plus.
Après avoir passé une semaine plutôt morne et déprimante avec Marilyn, on nous propose de passer carrément une vie avec Liberace. Mais qui est cet homme ?
Servi par une campagne promo et une bande annonce emballante, Moi, député (pour reprendre l’expression favorite de notre cher Flamby national) nous sert un duel au sommet entre deux figures sacrées de la comédie américaine. Will Ferrell qu’on ne présente plus et Zach Galifianakis qu’on ne présente plus non plus. Qui remportera la campagne ?
Clang, roooooolll, ping, mais putain, qu’est-ce que t’as foutu ? Respectivement le bruit de ma mâchoire qui cogne sur la table puis de la langue qui…