Critique : Cruella
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Pour des retrouvailles avec Robert Downey Jr., on ne peut pas dire que ce soit glorieux. Le voyage du Dr Dolittle est sans inspiration.
Avec cette nouvelle itération des (Wo)Men in Black qui n’est pas un reboot mais un spin-off, j’espérais que la saga reparte du bon pied.
Voici l’ultime bande-annonce de La Belle et la Bête avec les différences par rapport au chef-d’œuvre d’animation de 1991 qui se laissent découvrir.
Après m’avoir charmé via son intrigant teaser et son magnifique poster, La Belle et la Bête livre sa première vraie bande-annonce.
La version live de La Belle et la Bête avec Emma Watson se dévoile au travers d’un poster et des photos et on peut dire que c’est du lourd.
Vu le second opus, c’est d’un œil méchant que j’avais d’abord regardé ce Bridget Jones Baby. Puis, j’avais été soufflé par les très bons retours.
À vif ! ne doit pas être confondu avec le film avec Jodie Foster. On ne parle pas d’une femme qui dessoude des mecs, mais d’un chef de cuisine qui descend des huitres.
Dans l’ombre de Mary revient sur la création d’un des plus grands chefs d’œuvre du cinéma. Ici, Mary Poppins.
Ce film avait tout pour provoquer une allergie m’obligeant à aller voir un dermatologue. Il avait tout… sauf l’essence.